1 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
ÉMISSION SPÉCIALE
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Titre du segment | Entretien avec Jean-Paul Riopelle |
Date de création
| 1988-09-06 |
Invités | Brousseau Jean, lecteur; Fontaine Jean, lecteur; Riopelle Jean-Paul, peintre et sculpteur |
Artisans | Charbonneau Danielle, animatrice; Gauvin Lise, journaliste, intervieweuse; Picard Gilbert, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Jean-Paul Riopelle parle de ses débuts, de l'influence de son père, des différents cours qu'il a suivis, de ses études à Polytechnique, de la fondation de l'École du meuble par Jean-Marie Gauvreau, de l'art sacré et de l'influence des peintres français, de son amitié pour Ozias Leduc, de l'art contemporain durant la guerre 1939-1945, de l'introduction des surréalistes au Canada, des gens que fréquentait Paul-Émile Borduas et de son départ pour l'Europe, de l'origine du "Refus global" et de sa participation à celui-ci, du but de ce manifeste, de la définition de l'automatisme, du scandale provoqué par le "Refus global", des signataires du "Refus global", de la réaction des gens, de l'influence d'Antonin Artaud, de sa rencontre et de son amitié pour André Breton, de comment il se décrit, de ce qu'il pense de l'art abstrait, des gens qui l'ont marqué, de son amour de la nature, de l'évolution de sa peinture, de ses ambitions et de ses tableaux préférés. Lecture d'un article de Pierre Schneider paru dans "l'Express". |
Mots clés | Art — Automatisme — Culture — Souvenirs — Surréalisme |
Identifiant | 705373 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
ÉMISSION SPÉCIALE
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Titre du segment | Entretien avec Fernand Leduc. |
Date de création
| 1990-02-11 |
Invités | Renaud Thérèse, écrivaine et compagne de Fernand Leduc; Fernand Leduc. |
Artisans | Viau René, journaliste, interviewer. |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Thérèse Renaud se joint à la conversation. Fernand Leduc et Thérèse Renaud évoquent leurs conditions de vie à Paris en 1946-47, leur participation au "Refus global", les intérêts et les idéaux qui les animaient dans leur jeunesse, leur quête de liberté. |
Mots clés | Art — Culture — Paris — Société — Souvenirs |
Identifiant | 714497 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
3 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
ÉMISSION SPÉCIALE
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Titre du segment | La vie de Paul Berval |
Titre de l'épisode | Je m'appelle Paul Berval |
Date de création
| 1994-07-25 |
Durée du segment | 00:50:00 |
Invités | Berval Paul, comédien ; Roux Jean-Louis, comédien |
Artisans | Houde Jacques, animateur ; Morency Anne, journaliste, présentatrice ; Roy André, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Durant tout l'été, en compagnie de Jacques Houde, Paul Berval se raconte. L'émission d'aujourd'hui accueille le comédien Jean-Louis Roux et porte sur la télévision. La soirée inaugurale de la télévision canadienne où le Premier ministre du Canada, Louis Saint-Laurent, était présent, est largement commentée. On décrit le programme, variété, ballet et une émission dramatique. Jean-Louis Roux participait à cette soirée dans l'émission dramatique et Paul Berval jouait dans l'émission de variété. Ils racontent quelques anecdotes. À 00:05:53 une présentatrice explique que la télévision française a commencé avec le poste CBFT. La télévision anglaise débuta 2 jours plus tard avec le poste BBLT Toronto. Lors de la soirée d'ouverture de la télévision canadienne, qui a lieu le 6 septembre 1952, le tout Montréal est présent. À 00:07:39 une présentatrice cite le président du Bureau des gouverneurs de Radio-Canada, monsieur Davidson Dunton, qui parle de la programmation de Radio-Canada. À 00:09:09 elle cite les critiques de cette soirée inaugurale dans les journaux. Jean-Louis Roux parle de la ferveur qu'il y avait à cette époque. Les gens avaient un respect pour le travail des autres. Il jouait dans l'émission «Les Plouffe» que tout le Québec regardait. À 00:27:29 une présentatrice reparle du 6 septembre 1952. Elle mentionne que les 16 999 Montréalais propriétaires d'un téléviseur ont dû regarder la transmission de cette fête. Elle nomme également les émissions pour les enfants, pour les femmes et les émissions sportives qui font partie de la programmation de Radio-Canada. Ainsi la première partie de hockey est télédiffusée le 11 octobre 1952 entre les Canadiens et les Reds Wings. Il y a peu d'émissions d'informations dans les débuts de Radio-Canada. Une heure par semaine, moitié français et moitié anglais. C'est en 1953 qu'on ajoute à l'horaire un journal télévisé animé par Michelle Tisseyre. Le 21 juin 1953, le couronnement de la reine Elisabeth II est vu en différé puisque les bobines sont amenées de Londres par avion. Jean-Louis Roux et Paul Berval affirment que la télévision a eu un impact négatif presque immédiat sur le cinéma, les théâtres et les spectacles. |
Mots clés | Culture — Littérature — Médias — Radio-Canada — Souvenirs — Théâtre |
Identifiant | 1454275 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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